Les formes de combats
Parmi les formes de combat, il existe des sous-catégories qui sont apparues au fil des ans en fusionnant des formes de combat existantes, mais nous nous concentrerons uniquement sur les 7 formes principales.
La forme 1
Shii-Cho
Enseignée à tous les novices dès la première année, elle permet l’apprentissage des bases comme le maintien de l’arme, posture de garde, déplacements, gestion de distance, donnant également au pratiquant le temps de découvrir son arme, ses forces et ses faiblesses. Forme assez brute mais efficace, elle n’est pas réputée pour sa finesse car développée pour l’utilisation du sabre comme arme lourde : larges coupes, gros dégâts mais peu précis dans des mains inexpérimentées. Sa maitrise permet de la rendre plus fluide tout en apportant une dose d’imprévisibilité.
La forme 2
Makashi
Utilisateur populaire : Comte Dooku
Le Makashi a été développé suite à l’émergence du Shii Cho comme la forme de combat sabre contre sabre. En effet il y avait peu voir pas d’armes pouvant s’opposer à un sabre laser, mis à part un autre sabre laser. C’est dans cette optique que le Makashi vit le jour. Mélange gracieux et fluide de défenses, d’estocs et de contre-attaques, cette forme ses caractérise également par une mobilité accrue afin de trouver une ouverture chez l’adversaire et de s’y engager. Elle manque toutefois de puissance ce qui peut la limiter vis-à-vis d’autres formes plus brutales.
La forme 3
Soresu
Utilisateur populaire : Obi-Wan Kenobi
Le Soresu est une forme conçue pour la défense. Son utilisation protège son utilisateur au maximum, afin que ce dernier puisse temporiser et voir les options s’offrant à lui. Bien que la volonté de cette forme soit d’éviter le combat dans un premier temps, elle offre un potentiel offensif non négligeable principalement basé sur des parades-ripostes, contre-attaques soudaines surprenant l’adversaire s’épuisant dans des attaques répétées.
La forme 4
Ataru
Utilisateur populaire : Yoda
L’Ataru se caractérise par une utilisation accrue du terrain pour dominer et prendre l’ascendant sur son adversaire. Déplacements rapides, frappes successives, bonds, coups sautés, utilisation totale de la zone de combat sont les bases de l’Ataru qui est une des formes les plus éprouvantes du sabre. Elle requiert une efficacité et une précision toute particulière sous peine d’épuisement du pratiquant et de voir la situation se retourner contre lui.
La forme 5
Shien / Djem So
Utilisateur populaire : Dark Vador
L’une des formes offensives de sabre les plus brutales qui soient. Dérivé du Soresu, le Djem So se voulait comme une variante se résumant par «La paix par une puissance de feu supérieur ». Des attaques, des blocages suivis de contre-attaques violentes et puissantes cherchant à briser la garde de l’adversaire caractérisent de façon unique le Djem So. Il repose sur la domination de l’adversaire, en opposition à l’apparente passivité́ du Soresu mais ses principaux défauts sont son manque de mobilité et l’exigence physique qu’il nécessite.
La forme 6
Niman
Utilisateur populaire : Grievous
Le Niman se veut comme la mise en synergie de toutes les formes précédentes. Alliant les bases élémentaires du Shii Cho, la rapidité du Makashi, la défense du Soresu, la mobilité́ de l’Ataru et la puissance du Djem So, cette forme ne présente pas de réelles faiblesses mais ne donne pas un réel avantage dans un secteur ou un autre. Le Niman donne une plus grande aisance vis-à-vis d’une situation immédiate mais son manque de spécialisation peut le limiter rapidement. Les pratiquants de cette forme sont des combattants complets mais pas exceptionnels et utilisent le mélange des autres formes pour surprendre l’adversaire. Le Niman ne convient pas à̀ une confrontation prolongée.
La forme 7
Juyo
Utilisateur populaire : Dark Maul
Le Juyo est la forme de sabre la plus controversée. Mélange de contrôle de soi en apparence et d’une expression de rage dans le maniement du sabre, transformant l’arme en un tourbillon de coups directs, fulgurants et imprévisibles. Cette forme repose sur une base de feintes trompant l’adversaire avant de s’engouffrer dans la faille créée et d’y enchainer une série de frappes jusqu’à ce que l’attaque porte. Cette psychologie est assez belliqueuse. C’est une forme exigeante physiquement, mentalement et techniquement, nécessitant une connaissance de soi accrue pour éviter l’emballement lors de son exécution.